Volume 1 no 5 - 24 novembre 2023

La cause est juste!

Alors que se termine tout juste ce deuxiĂšme mouvement de grĂšve en Front commun, je veux prendre le temps de vous dire merci!

Pendant ces trois jours, je me suis promenĂ© sur les lignes de piquetage dans plusieurs rĂ©gions du QuĂ©bec. Partout, j’ai rencontrĂ© des travailleuses et des travailleurs mobilisĂ©s et dĂ©terminĂ©s. C’était impressionnant de vous voir en action, confiants et fiers. Et vous avez raison!

On l’a rĂ©pĂ©tĂ© souvent au cours des derniers jours, mais cette nĂ©gociation, c’est la vĂŽtre d’abord et avant tout. Vos conditions de travail, votre quotidien, vos enjeux, vos besoins, votre voix.

C’est exactement le message que nous porterons aux tables de nĂ©gociation et au gouvernement pour en arriver Ă  une entente. Les prochains jours seront importants : suivez-nous pour rester informĂ©s!

Éric Gingras, prĂ©sident

Pour approfondir vos connaissances ou pour vous tenir au fait des derniĂšres actualitĂ©s jusqu’au prochain Bulletin NĂ©go, n’hĂ©sitez pas Ă  visiter notre site Web negociation.lacsq.org.

À la CSQ, on est là pour nos membres!

LE FRONT COMMUN DEMANDE LA CONCILIATION

Le Front commun a déposé une demande de conciliation à la table centrale dans l'espoir de cheminer vers une entente avec le gouvernement.

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La population quĂ©bĂ©coise soutient massivement les grĂ©vistes du secteur public

Un sondage SOM révÚle que sept Québécois et Québécoises sur dix appuient les syndiquées et syndiqués en négociation.

La Presse a dĂ©voilĂ© mercredi les rĂ©sultats d’un sondage SOM, qui dĂ©montre un appui « sans Ă©quivoque » de la population quĂ©bĂ©coise envers les employĂ©es et employĂ©s prĂ©sentement en grĂšve dans le cadre de la nĂ©gociation du secteur public.

Ce soutien est encore plus marquĂ© chez les parents d’enfants d’ñge scolaire : ils appuient Ă  79 % les travailleuses et travailleurs de l’éducation.

Les QuĂ©bĂ©coises et QuĂ©bĂ©cois appuie davantage le Front commun

Un autre sondage, celui-là réalisé par la firme Léger entre le 3 et le 6 novembre derniers, révÚle que la population québécoise appuie davantage la position du Front commun que celle du gouvernement.

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RETOUR EN PHOTOS SUR UNE JOURNÉE HISTORIQUE

Le jeudi 23 novembre, prĂšs de 600 000 syndiquĂ©es et syndiquĂ©s du secteur public Ă©taient en grĂšve : une premiĂšre!

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VOTRE GRÈVE DU 22 NOVEMBRE EN PHOTOS

Mercredi a été une seconde journée incroyablement active pour les grévistes partout au Québec, et ce, malgré la neige et la pluie!


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VOS LIGNES DE PIQUETAGE DU 21 NOVEMBRE

Voici un compte-rendu et quelques photos de cette premiÚre journée de grÚve qui était dédiée aux enjeux sectoriels.

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Pourquoi je suis mobilisĂ© : Alexandre, techinicen en service de garde

« Garder espoir, c’est pour ça qu’on fait cette job-lĂ  », souligne celui qui est aussi prĂ©sident de son syndicat.

Alexandre Boutin est délégué syndical depuis 2017 et président du Syndicat du personnel technique et administratif du Centre de service scolaire de la Région-de-Sherbrooke (SPTA-CSQ).

À ce titre, il arrive Ă  brosser un portrait trĂšs juste de la situation de ses membres sur le terrain. On s’en doute : cette situation, elle est loin d’ĂȘtre rose.

Lui-mĂȘme Ă©tait technicien en service de garde avant d’ĂȘtre libĂ©rĂ© par son syndicat pour couvrir le terrain et tendre l’oreille Ă  ses collĂšgues de Sherbrooke. Il est donc particuliĂšrement sensible aux conditions de travail en service de garde scolaire et Ă  son importance cruciale pour les enfants, les parents et l’équipe-Ă©cole entiĂšre.

Un rÎle essentiel, mais des postes peu alléchants

Malheureusement, de nombreux postes d’éducatrice ou d’éducateur en service de garde ne prĂ©voient que de six Ă  huit heures de travail par semaine. À partir de 10 heures, ce n’est pas vraiment mieux : les postes comportent souvent des horaires brisĂ©s.

« Ce qui veut dire que les Ă©ducatrices et les Ă©ducateurs vont travailler le matin de 7 h Ă  9 h, explique Alexandre Boutin. Ensuite, ces personnes ont un arrĂȘt de traitement, elles recommencent Ă  travailler de 11 h Ă  13 h, et aprĂšs, elles ont un arrĂȘt de traitement, puis elles commencent Ă  travailler de 15 h jusqu’à 17 h 30. »

Ces Ă©ducatrices et Ă©ducateurs restent donc Ă  l’école, en « mode travail », et ce, sans traitement. Et ce traitement, lui, n’est pas plus allĂ©chant. Avec l’inflation, il est ardu de joindre les deux bouts mĂȘme avec un « gros poste » de 30 heures.

« Ce ne sont pas des postes qui sont trÚs recherchés! » résume le technicien en service de garde.

Pour lire l'entrevue en entier :

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Nouvelle section sur la grĂšve

La section À propos de la grĂšve du site de la nĂ©gociation de la CSQ vous permet de mieux comprendre en quoi elle consiste et comment elle s’opĂšre.

Vous y trouverez notamment des informations sur l'exercice de la grÚve, les modalités des différentes séquences de grÚve en Front commun, ainsi qu'une foire aux questions détaillées.

À propos de la grùve
 

Outils adaptables du Front commun

Le Front commun met Ă  la disposition des militantes et des militants une sĂ©rie d’outils numĂ©riques visuels que vous pouvez mettre Ă  votre main pour les afficher sur les rĂ©seaux sociaux. 

Des zones sont adaptables sur certains de ces outils visuels. 

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